::LES PROPHÉTIES MODERNES::

L'Ancien Monde (Atlante, Mu, Maya, Anunnaki) par Enki_iz_Back

LA SYMBOLIQUE EGYPTIENNE

La position des Pyramides de Gizeh correspondrait aux mouvements célestes annoncés par les Mayas, ainsi que par les prédictions de Nostradamus.

L’architecture pyramidale des bâtiments, leur structure, leur emplacement correspond exactement au schéma de l’alignement galactique de la grande éclipse prévue en 2012.

Les pyramides d’Egypte ont été construites de manière à coïncider parfaitement avec la constellation d’Orion, illustrée sous la forme un homme debout, les bras levés, les jambes écartées (L’Homme de Vitruve - les proportions du corps humain, et la représentation du Nombre d’Or -1,618- de Léonard de Vinci - rapport proportionnel systématique universel).

Orion marque également la moitié du cercle de 26 000 ans décrit par le Soleil entre les alignements galactiques.

Pour le peuple Egyptien : le ciel et les étoiles représentaient une carte de l’histoire et de l’avenir à déchiffrer.

Au même titre que pour les prophéties Maya et celles de Nostradamus : des messages concernant notre évolution seraient insérés dans la carte des Cieux.

Les fresques, les symboles, les hiéroglyphes gravés sur les façades et les murs des Temples sacrés (toutes religions et croyances confondues) aux quatre coins de la planète décrivent des séquences de cataclysmes, similaires à celles que notre époque traverse.

Egyptologues et historiens se rejoignent pour confirmer que les Egyptiens avaient programmé un grand bouleversement à l’approche de 2012.

Pourtant : 3 500 ans et des milliers de kilomètres séparent la civilisation Maya de la civilisation Egyptienne.

Copyrights Marion Calviera aka Seven (2009-2012)

[1] Tachtli

[2] Kik

[3] Source Wikipédia.fr

[4] Les Mayas ont mesuré la durée de l'année solaire, l'estimant à 365,2420 jours, alors que pour les astronomes modernes elle est de 365,2422 jours. Soit une différence de seulement 17 secondes. Or les Mayas étaient incapables de connaître l'heure, la minute ou la seconde.

Seven, 2010